i'm a slave to your love-game.

garçon sincère ne pense qu'à elle. garçon lumière se perd dans les profondeurs des enfers, ne pense qu'à e l l e. elle est brasier, elle est bûcher, elle est incendie de l'âme et charmeuse sorcière ; elle est éternelle succube mais le long du styx, il se plaît à vivre précieusement leurs moments. elle est l'enfer des autres, mais son paradis, le sien. et d'une exquise soirée, il ne réclame qu'elle. au diable les peurs mon amour, que lucifer consume nos âmes s'il le souhaite, je ne veux rien d'autre que toi, mon éden. aleksei aime, et aleksei donne sans compter pour ce bonheur qu'il chérit. le sourire est accroché à ses lippes pleines, peint d'un rose doux ses joues qui brûlent de s'imaginer le déroulé d'une nuit précieuse. le russe s'affaire et ne s'accorde que rarement le répit d'un soupire exhalé, vaquant aux occupations notées de lettres manuscrites maladroites sur un papier froissé. une table fièrement dressée, quelques bouteilles au frais, des fleurs parsemées, un lit parfumé, un repas commandé, un cœur prêt à aimer.

garçon solaire et son argent si précieux pour vivre pourtant dépensé expressément dans la location d'une chambre d’hôtel. une vue dégagée sur la plage d'haeundae et le pont éclairé bien loin au fond. une occasion délicieuse. son palpitant qui s'emballe, qui cavale et ravage la poitrine d'une douleur enchanteresse tandis que l'heure défile. gamin panique. gamin ajoute la dernière touche d'une bougie et se presse jusqu'à la douche, détendant ses muscles par l'eau chaude et aimant apposer à son épiderme les effluves d'un parfum musqué. sèche ses cheveux blonds cendrés, et bien que contrastant avec l'élégance de son décor, se satisfait d'un simple t-shirt blanc et ample, d'un jean noir de jais. éteint les lumières.

et il profite de cinq minutes pour s'adonner à son nouveau péché, allumant la cigarette suicidaire pour l'apposer entre ses lèvres.

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alekseixeden, (aesth.) // ((해운대구)) // tumultes d'un cœur au grand galop alors que les pieds traînent. eden avance, belle et précieuse, et ses coups d'œil s'attardent au cadran du téléphone silencieux. il est presque neuf heures sous le ciel de busan, sombre tableau taché de lumières artificielles. pourtant le pas est lent, presque craintif ; eden a horreur des surprises. et la voilà qui s'engage vers l'inconnu, hésitante, qui pousse une porte et se perd dans un hall somptueux. petite eden ne veut rien voir ; ni les murs, ni les sols, ni les gens, ni leurs regards… minuscule eden malgré les talons vertigineux qui abîment ses pieds froids. ah, elle a fait de son mieux, et ça lui va si mal ! engoncée dans un jean propre, une blouse vaporeuse reléguée aux grandes occasions qui balaye ses poignets de froufrous à ne plus savoir qu'en faire, des escarpins empruntés à quelque connaissance bienveillante… eden a fait un effort, parce que l'adresse l'effraie. imprévisible aleksei ! intarissable tendresse ! ne cessera-t-il donc jamais de la surprendre ?

présentation dans un souffle, vague appréhension de se voir chassée des lieux aussitôt. elle n'a rien à faire là, l'enfant-louve, avec ses cheveux lâchés aux quatre vents et ses yeux inquiets. mais on hoche la tête, on lui donne un nombre et une carte sur lesquels ses doigts se referment à la hâte. eden ne veut soudain plus que rejoindre aleksei, s'assurer qu'elle ne s'est pas trompée d'endroit et retrouver la chaleur de son étreinte protectrice. alors elle finit par se presser, déambule un moment dans les couloirs interminables de l'hôtel avant de s'arrêter tout à coup ; c'est là.

elle glisse la carte dans la fente, abaisse la poignée, s'engouffre dans la pièce.

« aleks ? »

l'obscurité la happe, et pourtant de subtils points de lumière éclairent faiblement un visage qui perce l'ombre au centre de la chambre. il est là. soupir bienheureux.

« aleks ? mais… qu'est-ce que… »

les yeux se font aux ténèbres dont eden détaille curieusement les reflets.

fumée brouillon, fumée toxique, fumée nocive qui glisse ses délices noirs dans la trachée du garçon au cœur gonflé d'un amour tout aussi malade. les flammes vacillent et dansent dans l'obscurité de la pièce soignée, projettent leurs ombres fines sur les joues semblant blafardes du tendre gamin. et la fierté se fait plus vive encore lorsque ses orbes de jais s'attardent sur chaque détail, lui qui malhabile s'est pourtant surpassé : motivé par le sourire qu'e l l e dessinera alors sur ses lèvres tentatrices. et il se complaît, l'éternel éphémère, de son bonheur à elle. la poignée s'abaisse et du son produit, il s'alarme. de quelques gestes maladroits, annihile la vive lumière du centre de la longiligne au creux du cendrier. réajuste ses vêtements, et n'a nul besoin de feindre le sourire qui traverse son visage hâlé. il déambule en vif prédateur pour planter ses griffes dans la plus délicieuse des proies, enserrant les hanches de la belle. sa voix se veut suave, sensuelle ; charmeuse, charnelle. « bonsoir mon amour. » illusion aime haut, aime fort, aime grand : aime trop grand et un jour ou l'autre, de prisonnier il deviendra Icare et prendra son envol fatal. mais pas ce soir (non, pas ce soir).

de gestes délicats et tendres, il remonte ses mains sous le haut de carnage, d'e d e n (elle) et laisse la pulpe de ses doigts glisser sur cet épiderme brûlant de la morsure glacée. appose sur ses lèvres le sceau infini d'un baiser amoureux. laisse ses lippes fendre les siennes ; douceur, puis ravages. plante ses dents dans sa chair, joue quelques instants avec. malice. les prunelles pétillent. « joyeux six mois, ahn eden. » ses astres n'en sont que plus lumineux lorsqu'aleksei les perd sur la tenue de son aimée ; le palpitant se renverse de tant d'efforts qui, pourtant, ne sont que mascarade. « tu es magnifique. » hors, mascarade, parade ou faux-semblants, le souffle en reste court et les mots sincères.

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alekseixeden, (aesth.) // ((해운대구)) // douce étreinte. bras furieux qui referment leur poigne sur la taille maigre, désireux de chaleur, avides de frissons. aleksei et ses serres d'aigles. aleksei et sa bouche de feu. aleksei qui dévore son eden, lui arrache un spasme délicieux à la morsure de ses lèvres insolentes. eden retient son souffle et son corps se presse contre celui du bien-aimé dans un réflexe attendri. et les doigts habiles contre la peau blême, et le serment passionné imprimé sur la bouche muette… et enfin les mots solennels à son oreille, qui entament la soirée merveilleuse qu'il lui a promise. c'était donc ça… l'idée avait traversé l'esprit de la jeune femme alors qu'elle déambulait dans les rues du busan de ses plus belles espérances.

« six mois déjà… » susurré dans un sourire.

tendrement, la main de la nymphe s'attarde sur le visage du garçon-soleil, dessine du bout des doigts la mâchoire qu'elle a tant et tant embrassée, alors que les orbes onyx détaillent son corps frêle. six mois… ses lippes rosées de blessures amoureuses déposent sur la joue un baiser délicat ; « joyeux anniversaire mon ange. »

les contours de la chambre se détachent de mieux en mieux, et eden laisse son regard embrasser le décor fastueux. rien n'a été laissé au hasard ; ni la lumière tamisée d'une bougie, ni les meubles parsemés de pétales. eden observe, yeux grands ouverts, main entrelacée à celle de l'amant fou, amant aimant, amant idéal. et le souffle lui manque, parce qu'on ne lui a jamais rien montré de semblable, ni le métisse ni personne, pas même ses parents du temps où ils partageait encore sa vie. pourtant que c'est doux ! que c'est beau, une démonstration d'affection ! c'est un sourire charmé qui éclaire peu à peu le visage empourpré de plaisir. les yeux d'eden se rivent à ceux de son homme tandis que la gamine abîmée cherche ses mots. « c'est magnifique… » parvient-elle à murmurer. mais comme le verbe ne suffirait à traduire l'émotion qui la gagne, ce sont des baisers qui s'échouent à ses lèvres, qui se pressent aux commissures d'aleksei et descendent sur son cou. mille baisers pour mille mercis ; à croire que la créature des limbes se fait au goût du paradis.

qu'elle est belle, son eden et ses mille apparats ; qu'elle est douce, sa rédemption entre les bras de la joyeuse infernale. qu'il est pur, l'a m o u r que gamin nourrit et chérit lorsque ses astres heureux se posent sur la belle au corps d'aphrodite. princesse de velours dont les courbes lui paraissent immuablement alléchantes ; divine sculptée à même l'argile des dieux par les anges les plus assidus. éternelle mélodie à son cœur flambant de la savoir à lui. elle qui, féline chasseresse, coutumière des péchés sans confesse, ne semble offrir sa douceur qu'à ce blondinet ((trop)) attendri. et aleksei, du bout de ses baisers, la goûte, la dévore et jamais ne se lasse. et du bout de ses doigts, le rend prisonnière sans jamais n'en savoir qu'il est la proie. les yeux se plissent et forment d'exquises demi-lunes lorsque sur sa mâchoire, elle promène sa peau ; se closent à ses baisers e m p o i s o n n é s. un soupire quitte les lippes, le russe rouvre ses paupières sur le visage de la red pistol et le sien rosit d'un plaisir non dissimulé sous ses réactions aussi improbables qu'inattendues. elle, si sauvage, si primaire, si solaire à cet instant qu'elle l'éclipse lui ; et il en sourit.

sur son épiderme hâlé, eden promène ses lèvres et le frisson qu'elle tire au russe traverse la moindre parcelle de sa chair ; cavale en cascade. soleil déglutit, repousse l'aimée en agrippant fermement sa hanche par l'une de ses mains ; l'autre s'ancre à sa gorge sans ne jamais pourtant couper le souffle. chaque instant, le même jeu. êtres doux sous le regard de ceux qui couvent ; êtres sauvages lorsque seuls ils se découvrent ((et cette tension, qui jamais ne les quitte)). le timbre rauque, les orbes aux pupilles se dilatant, noires à y sombrer. « arrête ça, mon chaton. j'avais pour ambition de tenir encore quelques minutes avant de te retirer tes vêtements... - le sourire est discret ; la langue roule sur son propre croissant de chair- et je doute que tu apprécies de les savoir arrachés. » la main du blond quitte la gorge gracile lorsque le baiser claque sur la bouche et à nouveau, la tendresse détend ses traits affamés. « j'espère sincèrement que ça te plait. je voulais faire les choses en grand. » sa paume retrouve celle de la femme lorsqu'il entremêle leurs mains, leurs doigts, et par quelques pas, guide la lionne vers le canapé. s'y assoit le premier pour la tirer sur ses genoux, et comble leurs mains de coupes de champagne minutieusement servi. nouveau baiser, sur l'épaule apposé. « je ne m'attends pas à ce que tu me répondes... mais je t'aime. » murmure saccadé.

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alekseixeden, (aesth.) // ((해운대구)) // gestes empreints d'une douceur sans égal s'attardent sur la gorge parfumée. eden laisse aller ses lèvres au rythme de leur soif, conquérantes audacieuses qui sillonnent l'épiderme sans relâche, prêtes à poursuivre leur descente aux enfers bien au-delà du raisonnable. eden qui se délecte de chaque soupir, de chaque frisson, comme l'acceptation muette de sa kyrielle de mercis. puis le mouvement ferme qui se heurte à son cou, garçon-coton et sa poigne fauve qu'eden ne prévoyait pas. d'un seul coup elle se fige, perd de ses couleurs et retient son souffle ; fillette aux aguets attend le coup pernicieux de son père. mais la rudesse s'achève là car c'est un baiser qui s'écrase à la bouche tremblante et tire l'ange déchu de ses remembrances sordides. ce n'est rien. ce n'est qu'aleks. aleks et sa fougue tout juste contenue. et lorsque la main brûlante glisse contre la sienne, eden frissonne encore, tant de peur que d'excitation.

la jeune femme se laisse guider, docile, jusqu'au canapé et accepte volontiers l'étreinte de son amant. l'éréthisme encore au galop, elle ferme les yeux un instant pour reprendre ses esprits, appuie son dos contre le torse du soleil. frisson délicat du bout des lippes et de leur tendresse ; l'aveu la touche, et pourtant… le cœur de l'idolâtre se cogne au sien qui, lourd, se serre et se gonfle d'amertume. eden oscille entre rire et larmes, et sans trop savoir pourquoi ses pensées vont à haneul. silence averti. au coin des lèvres frémissantes, l'ébauche d'un sourire. ah… elle ne voit plus bien clair, la pauvre eden. les traits de son compagnon d'autrefois s'immiscent à l'évocation d'amour, et elle panique. pire ; elle s'en veut. alors, pour tromper son trouble autant que pour raviver la lueur dansant à la noirceur des yeux du cher aleksei, elle pose sur le métisse un regard tendre.

« et si je te répondais, aujourd'hui ? »

le palpitant s'emballe à nouveau — pour une toute autre cause. eden fait passer ses jambes de part et d'autre des cuisses de son homme pour lui faire face, lève sa coupe, y pose ses lèvres, savoure une gorgée, prunelles rivées aux orbes charbon. la seule main libre se loge contre la nuque balayée de cendres et attire le visage hâlé un peu plus près. souffles se mêlent. parfum de cigarette tout juste consumée. du bout des lèvres, du bout du cœur, la succube profère le plus sincère des mensonges. « je t'aime, aleksei. »

l' a m o u r. il ronronne à sa nuque les mots les plus doux, les plus suaves et les plus intimes qu'il puisse lui offrir. je t'aime. il grogne à son épiderme les mille secrets, et les promesses les plus belles. celles qui veulent dire tant, mais ne parlent jamais trop. je t'aime. il roucoule à son oreille les plus belles sonates de son palpitant gonflé d'espoir, et la fougue de son besoin viscéral de l'avoir à ses côtés. la faire sienne à chaque instant de sa vie, et ne jamais l'en voir s'échapper au risque de le suicider. je t'aime. mélodie, et quelle mélodie ; celle de la sincérité qu'il lui confie comme une caresse noyée sous la tendresse. gamin sait pourtant ; il sait trop bien et trop fort, il sait trop mal qu'elle ne peut lui retourner ses mots, qu'elle ne lui en retournera que des maux. et sous la délicatesse des yeux de la féline, il oublie de s'en soucier, lui confiant sans y songer les clés de cette lueur astrale flambant en ses prunelles chaudes. je t'aime. l'amoureux éperdu, l'amoureux transit ; l'amoureux perdu, l'amoureux de transition qui, sans le vouloir, retient la femme liberté. et d'un baiser nouveau, aussi fugace que futile, apposé à son cou, il espère éteindre les braises des peurs de l'adorée. « tu n'as pas besoin de me répondre pourtant. tu le sais. »

aphrodite se meut, et lorsqu'elle lui fait face, le russe ne peut que l'attirer un peu mieux en encerclant la taille de ses bras avides de chaleur. ses lèvres s'entrouvrent, effleurent les siennes dans un jeu dangereux qui ravive la passion de son regard. les mots tombent, sentence irrévocablement fausse en laquelle il ne place pas le moindre brin d'espérance ; et à cette douce torture, il n'aurait que préféré le silence. « tait toi eden... » le timbre ferme se veut pourtant si doux, et il délaisse ses yeux ; é c l i p s e des cœurs. promène ses doigts le long de la gorge de la douce, poursuit son ascension jusqu'à sa lèvre inférieure qu'il caresse d'un pouce avide. « tait toi, ne ment pas. pas à moi. » le cœur s'emballe, le thorax gronde ses ravages et les prunelles reflètent l'orage amer. pourtant, aleksei préfère déposer un tendre baiser au coin des lippes de la cruelle, y étouffant un rire de façade. « tu sais que je n'attends pas que tu me répondes, alors ne t'inquiète pas trop de ça. je suis prêt à attendre tout le temps qu'il faudra. » nouveau baiser sur la joue. puis, l'une de ses mains se glisse sur la chute de ses reins qu'il effleure du bout des doigts, tandis que l'autre apporte à sa bouche le champagne pour une première gorgée dont il se délecte. souffrance muette qu'il ignore.

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alekseixeden, (aesth.) // ((해운대구)) // coup au c œ u r. les aveux s'épuisent à l'amertume de l'orbe onyx. aveu tardif. aveu avorté. uniques mots que la nymphe gardait si précieusement. le myocarde rate un battement puis se tord, essoufflé par la tendresse dont il se gonflait doucement. sur le visage d'eden, les reflets mordorés n'éclairent qu'un sourire fané ; elle voulait remercier, elle n'a fait que blesser. et à quel prix ? au prix d'un premier je t'aime que rien ne saura ramener. d'un élan d'imprudence, eden commet deux erreurs : malmène un cœur fiévreux, balaye d'un soupir une ébauche de sentiments destinés à un autre. pour éteindre la recrudescence d'une flamme oubliée, elle a faibli, et prononcé le serment interdit. et la sentence n'en est que plus terrible ; aleksei la somme de se taire. l'ordre est glacial et pourtant la brûle. eden s'efface à regret, ravale son désarroi à grand peine. et les doigts délicats de l'amant n'y font rien : les regrets sont amers.

eden s'en veut, eden se hait, eden voudrait disparaître, vagabonde indigne de l'amour qu'on lui porte. elle ne connaît que trop bien sa condition et la place qui lui revient, et si par instants elle croit mériter le bonheur qu'on lui tend les chimères perdent bien vite leur saveur pour s'adorner d'imposture. alors eden obtempère, le regard fuyant, l'esprit mortifié par sa propre hardiesse et conscient des blessures qu'elle inflige : eden se tait. son cœur, pour autant, bout d'une colère sourde qu'elle ne dirige que contre elle-même ; voilà que la sylphe s'évade, soustrait ses courbes aux caresses de sa proie. elle se redresse, fend la pièce de quelques pas hâtifs. mais dans l'intimité de cette chambre, les murs ne peuvent être poussés bien loin. alors elle tourne le dos, poings serrés, menton tremblant, crocs plantés dans la lèvre qu'elle rudoie. eden se sent mal. eden se sent fausse. eden ne se connaît plus, et plus personne ne la connaît. et malgré le faste dont les ombres sont serties, malgré le cœur qui se consume de tendresse à quelques pas d'elle, eden se sent plus seule que jamais. fière hell ne veut plus mot souffler. misérable eden ne sait plus que penser. pourtant, encore, elle veut faire de son mieux pour lui. aleksei et sa passion étouffante. aleksei et son amour démesuré qu'elle ne parvient pas à rendre.