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enfant sauvage + aleksei - hojoo

Jang Hojoo
Jang Hojoo
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Dim 11 Mar - 20:38
Jang Hojoo


enfants sauvages
never got tamed and never will

ça se bouscule là haut, ça se bouscule aussi en face de lui.
ça tourne pas rond, encore mois que d'habitude.
c'est l'abus qui a frappé avec douceur à la porte de son psyche, se glissant dès que cette dernière eu la chance, lorsque la raison entrouvrit la porte de la tour de contrôle. s'emparant des commandes, mise à la porte, raison disparue. oublié. et ça enchaîne les choix stupides. un peu d'alcool s'en suit bien vite par des mélanges douteux. un peu de weed, se transforme en poudre blanche, petites pilules joyeuses. et il a chaud, beaucoup trop chaud, et la demoiselle qui était à côté de lui se lève, désire danser. il accepte, car il veut un contact physique, ce soir, en cette soirée, il débutera avec l'image d'un roméo et terminera avec l'étiquette de satan lorsqu'il s'exprimera dans les draps. et la musique tambourine, ses yeux n'arrivent pas à suivre vraiment ce qu'il se passe devant lui. sa mâchoire se sert et se relaxe encore et encore. et sa tête qui bouge dans tous les sens, les paupières deviennent lourdes et lorsqu'il trouve ce qu'il désirait, il s'y colle, se mouve au rythme d'une musique qu'il n'écouterait jamais d'habitude. balancé par les idées lubriques qui se trame dans son esprit. ses doigts explorent les courbes enchanteresses. mais on peut entendre au loin, taper à la porte, la raison. elle l'implore de s'arrêter, de penser à cette fille qu'il est supposé aimer. mais ses lippes sont déjà scellés sur cette nuque, et il en veut toujours plus. encore plus. il y plante ses dents, referme sa poigne sur les hanches de la demoiselle. ça grogne. il en oublie bien vite son téléphone, cette conversation échangé avec celui qu'il appelait chaton. et tout s'accélère, tout dérape. ça termine dans des toilettes, ça fait son affaire. les cris sont masqués par la musique, les gouttes de sueurs sur son front. ces baisés ravageurs. les traces de griffes sur son épidermes, les marques rouge sur le fessier de l'amazone. il n'y a pas d'amour, pas de sentiments, c'est le péché dans toute sa splendeur. les soupirs accélérés qui ralentissent lorsqu'il termine, son dos qui vient se poser dans un fracas contre la porte. et ses mains qui s'occupe de le rendre un temps soit peu présentable. ce rictus lorsqu'il referme cette braguette de son jean, ses pupilles joueuses, qui ne cessent de garder en vue l'anonyme. s'avance vers elle et comme un au revoir, il embrasse une dernière fois la nymphe. baiser dénué de tendresse et de douceur. décampe comme il est arrivé, sort de cette boîte de nuit. titubant. heureux. l'enfant avait goûté au plus beau des fruits, celui qui arrivait à égayer un peu plus sa sa déchéance morbide.

pourtant, c'est une poigne qui vient se fermer sur son épaule. masculine. il se retourne et se fait accueillir par une salutation violente. quelques pas en arrière lorsqu'il manque de perdre l'équilibre. passe ses doigts sur le coin de ses lèvres, y voit son sang et l'abus n'arrange pas les choses. l'enfant sauvage répond, avec cette hargne qu'il garde en lui depuis trop bien longtemps. c'est pas beau à voir. et lorsqu'il en a la chance, lorsque l'adversaire est à terre, il ne regarde pas si il va bien. l'adrénaline qui prend finalement le dessus. qu'est qu'il avait foutu ? il recule en arrière, ses yeux posés sur l'inconscient. regarde autours de lui, personne n'était là en tant que spectateur et tant mieux. il décampe aussitôt. court en direction du seul endroit qui contenait ce qu'il désirait actuellement. à s'en brûler les poumons, il continue de courir vers son but. repartir au nirvana. épicerie nocturne, bouteilles d'alcool et une qu'il consommera sur la route. personne n'a l'air de le rechercher, alors il ne court plus. bruit d'ouverture, l'alcool du diable trouvant une nouvelle fois son chemin dans son œsophage. il ricane seul, dans la rue. laisse ses pieds choisir la destination. qg des red pistols, sera le domaine où il terminera sa course. il peut entendre le bruit des vagues, symphonie douce pour son ouïe. et le fracas lorsqu'il ouvre la porte de l'entrepôt difficilement. il titube en direction de cette lumière, manque de tomber plus d'une fois dans cette noirceur. il ne s'est pas vu hojoo, il n'a pas envie de savoir, même si il pouvait sentir son propre sang glisser sur son faciès. préfère s'en occuper quand il se réveillera. la lumière prend possession de la pièce et la personne qu'il découvre. s'en veut. d'avoir été celui qui vient déranger son sommeil. « pardon chaton... c'est rare d'entendre des excuses de la part du drogué et pourtant aleksei était le seul qui pouvait en être habitué. j'pensais pas que t'étais là-fin tu vois quoi... dé-désolé ? » il respire plus, on comprend trois mots sur deux et il s'avance vers les canapés, s'installe dans un fracas contre un des nombreux sofas. dispose son sac en plastique à ses côtés. soupire un grand coup, ferme les yeux et se rend compte qu'il a quand même mal. de sa main libre il passe cette dernière dans ses cheveux ébouriffé. « je vais partir, laisse moi juste respirer deux secondes. » rien que deux secondes à tes côtés. avant que ses démons reviennent le hanter.
Im Aleksei
Im Aleksei
- à l'ombre de nos instincts primaires -
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Sam 24 Mar - 11:58
Im Aleksei


enfants sauvages
never got tamed and never will

garçon solitaire aux pas ancrés sur le macadam d'une Busan rieuse. les idées noires se fracassent à son palpitant et dévorent son esprit alors qu'il traîne son corps épuisé le long des chemins sinueux ; les étoiles disparaissent une à une. compagnie lâche et vagabonde. soirée étrange et regrettée. sa foulée s'accélère sur les derniers mètres lorsque son corps se meurtrit d'un froid encore hivernal. aleksei ouvre la porte et, dans un soupire d'un soulagement non dissimulé, s'engouffre au sein du quartier général de son clan. ses prunelles se gorgent d'eau tandis que son âme bataille pour n'en laisser glisser aucune perle qui n'en saurait mentir. son dos prend appuie contre la porte, ses deux mains s'emmêlent dans ses cheveux teints et rebelles, sa mâchoire tressaute. aucune tristesse ne le pousse à geindre, mais encore perdu dans les méandres d'une enfance difficile à maîtriser, la colère, la déception et la fatigue ont raison de lui. le dos de sa main droite vient annihiler les traîtresse et bientôt, la douceur d'une truffe bienveillante le surprend, puis laisse place aux griffes de pattes quémandeuses de caresses sur le jean sombre. il s'accroupit, bafouille quelques mots d'une voix rauque et brisée, pose son menton sur la tête du doberman heureux de retrouver la compagnie de son maître. soirée ruinée. dévorée par les espérances désenchantées. meurtrie par les non-dits et ce que l'on pense alors en comprendre. ivresse révélatrice et mensonges sous-entendus. cœur à l'agonie. d'une soirée entre les bras d'une aimée et niché au sein d'un paradis qu'il ignore factice, le corps abandonné aux flammes fièvres d'un enfer brûlant, tout bascule et lui échappe. des messages, de la rancœur et des inconnus qui l'exposent à une colère injustifiée. le torrent des tourments. homme au grand cœur et à la justice trop poussée cavale sous les stroboscopes et les luminaires dans le but de sauver la douce indignée, celle qui à sa vie fut pilier et pour qui il se doit d'être présent. mais l'astre ne s'attendait pas à en être repoussé, malmené et insulté pour la seule faute commise d'avoir voulu lui épargner les risques : suji, femme étrange qui renferme bien des secrets qu'aleksei ne parvient à découvrir. alors il grogne, la tête contre celle de bohème. et  les souvenirs se fracassent les uns contre les autres dans un ballet mortuaire presque captivant. suji, ses reins. son corps, sa fièvre, son rire, ses lèvres près des siennes ; sa propre peur, sa maladresse et ses refus. leurs abandons mutuels. eden la jalouse qu'il abandonne pour une autre, ne le lui pardonne pas. et de longues heures perdues à errer dans busan le conduisent au domicile familial, celui qu'il sait ouvert pour sa personne.

le russe se redresse vivement, l'esprit habité par une volonté guerrière nouvelle : aucune femme ne l'a jamais fait plier, et aucune femme ne dominera en quelque domaine que ce soit l'homme qu'il était. eden, suji, et au diable leurs désirs f(l)ous. de quelques pas, il vient poser son sac en bandoulière sur le canapé miteux, rejoint ce dernier bien vite et y trouve le refuge désiré pour un corps épuisé. ses paupières ne tardent à se clore et son souffle, dans sa lenteur régulière, emporte les questions et les indignations sur le chemin de morphée pour quelques minutes méritées. jusqu'à ce que la lumière ne brûle sa rétine sous la peau fine, le poussant à enfouir son visage dans un oreiller pour y noyer son grognement désabusé. « la lumièrgnhmpf. » les excuses secouent son palpitant et éveillent ses sens lorsqu'il en reconnaît la voix familière ; un sourire fin se dessine à ses commissures tandis qu'un nouveau soupire s'échoue contre le tissus sale. « t'inquiète mon chat, moi non plus je pensais pas que je finirais là. » les muscles endoloris, aleksei vient étirer ses bras et décrocher sa mâchoire dans un bâillement non dissimulé. ses prunelles encore gorgées d'une douleur muette. l'agilité l'ayant quitté, le soleil s'empresse pourtant de rejoindre hojoo la lune, hojoo le diable, hojoo l'enfer, hojoo son enfer, son monde. sa tête se niche sur son épaule tandis qu'il vient jouer avec ses propres mèches trop longues, s'apprêtant à soupirer chaque seconde pour ne les retenir ensuite de peur d'incommoder le fougueux. « reste. » mais il ne dit mot sur l'état de l'autre, préférant dans un silence religieux venir glisser son index le long du menton du plus jeune pour effacer (étaler) le filet de sang chutant de ses lèvres. sourcils froncés, inquiétude dessinée. « me laisse pas seul, j'ai pas envie que tu partes. tu dors avec moi ? » juste une nuit dans l'innocence de tes bras, sous la douceur de ton regard, contre la pureté de ton cœur. juste une nuit avec toi, pour annihiler les tourments.
Jang Hojoo
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la jeunesse supposé joyeuse, c'est dix-huit ans de joie de vivre mais un an de tristesse et beaucoup plus qui ne se termineront jamais. ( 19 yo ). pourtant, c'est toujours festif, ces 31 du mois d'octobre.
Sam 24 Mar - 15:39
Jang Hojoo


enfants sauvages
i don't want to let you go without seing your face once



refuge pour les âmes en peine.
qg des enfants perdus,
maison de substitution pour les rebuts,
les êtres bien trop spéciaux.

demeure peu attirante lorsque la présence des membres de cette nouvelle famille ne s'y trouvaient pas. alors il se demande, pourquoi, même lorsqu'il était seul, au bord du gouffre, l'entrepôt gardait cette chaleur, cette hospitalité étrange, comme encore bercée par ces atmosphères festifs, par les rires insouciants et l'euphorie générale. alors quand sa carcasse rencontre le matériel cuivreux, il est prit d'une soudaine envie de se vider l'esprit. et l'envie de se battre prend fin peu à peu. présence réconfortante, plaidoirie effectuée. son soleil. son réconfort. son paradis à l'allure du pandémonium. il ne sait pas trop comment il en est arrivé à accepter aleksei dans sa vie dantesque. le russe n'avait rien d'un ange et pourtant, il l'était pour l'enfant turbulent. son soleil, qui ne daignait lui brûler les ailes à chaque fois qu'il s'en approchait trop. ses ailes de cire ne fondaient, pas une seule fois, lorsque le métisse acceptait de partager un léger moment avec le drogué. au contact du corps de son petit bout de paradis, il sourit timidement alors que ses yeux n'osent se déposer sur le faciès parfait du métisse. la requête est acceptée, finalement relaxé, il laisse le doigt du curieux vagabonder sur son menton. ne pipe mot, ne préfère pas expliquer la raison. se contente de clôturer ses paupières. prit d'une vague de tristesse. il a envie d'hurler son désespoir. de fondre en larme, comme un enfant après qu'il ait retrouvé les jupons de sa mère. il en a marre. souhaite brûler ce désespoir qui se tapis dans l'ombre de ses mémoires. il grimace, retient cette bombe à retardement qui menaçait de faire exploser la seule chose qu'il gardait intacte après tout ce temps ; sa virilité. pas maintenant, pas lorsque son soleil est là. il ravale difficilement ses tourments, laisse le luxe à ses iris de vagabonder sur le faciès du métisse. les paroles réchauffe son psyche. le regard est doux pourtant, le sourire qu'il aborde regorge de tristesse. mon soleil est tout aussi tourmenté que moi. serait-il assez fort pour avoir le même impact que ce dernier ? devenir l'être qui réussirait à faire oublier pendant quelques instants, tous les problèmes du monde, aussi bénin soient-ils ? il l'espérait.

la scène porte à confusion mais, seulement, eux, savaient de quoi découlait ces gestes. ces regards. ces paroles. de ce doigt traçant l'histoire d'une énième bagarre. de cette main encore meurtrie venant se déposer délicatement sur la joue rosé du soleil. le sourire est amer, pourtant la caresse est douce. ô dis-moi, soleil, qu'est-ce qui tourmente ton âme si parfaite à mes yeux ? « d'accord. » lâche simplement le drogué dans un murmure. il plonge ses pupilles dans celle de son aîné, se donnant le luxe de  se baigner dans ce paradis trouble. il n'ose pas être intrusif, le silence lui donnera ses réponses. comme d'habitude. les paroles trop lourdes n'étaient pas faites pour les deux enfants sauvages. les regards et les gestes avaient une parole muette bien plus puissante que ces dernières. sa main vagabonde dans le creux de sa nuque, pour finalement se refermer avec plus d’engouement. rapprochant son front contre celui du métisse, il ferme une nouvelle fois ses pupilles. bercé par la sensation que cela lui procurait. rassuré mais, en même temps torturé. il serait le genre d'idiot à vouloir déplacer monts et merveilles pour le petit plaisir de son paradis. à s'armer et se mettre en première ligne pour être celui qui subit les attaques à sa place.  « merci. » et ses iris sont de nouveau apercevable. elles prennent le temps d'admirer discrètement le chaos que possédait les pupilles de son paradis. un dernier soupire et il rompt ce contact. délivre l'épiderme du nordiste. il y avait cette retenue, cette question qui planait toujours lorsqu'on apercevait les deux enfants terribles. comment pouvait-il se comporter de la sorte l'un envers l'autre. ils avaient essuyés beaucoup de moqueries à ce propos. hojoo n'avait pas vraiment la réponse mais, savait que cela avait un lien avec le fait qu'ils n'essayaient pas d'être quelqu'un d'autre. ils étaient les seuls à se comprendre, à comprendre ces démons qui hantaient les deux êtres. lorsqu'ils étaient ensemble, ils n'étaient plus noircis, ils devenaient comme purs. qu'il soit un homme ou une femme, rien n'aurait changé. son paradis aurait été le même. pourtant, il se pourrait que le drogué eut l'envie idiote d'attraper par la main son paradis féminin, la plongeant elle aussi dans le jardin d'eden de son enfer. alors heureusement. heureusement que c'était un homme. « désolé. prononce timidement l'homme encore ivre. sa main caressant le plastique contenant le breuvage du diable. il s'excuse beaucoup, trop, certainement. mais, pour lui ce n'est jamais assez pour son paradis. désolé pour une multitude de choses. désolé pour un rien. désolé d'être imparfait, désolé d'être comme ça, désolé de sentir l'alcool, désolé d'être en mauvais état. l'homme n'est qu'un enfant, ne trouvant pas le chemin dans son labyrinthe psychologique. tu ne vas pas me laisser tout seul, hein ? » requête d'un bambin tourmenté, égoïste au plus haut point. il relève son visage vers le métisse, penche cette dernière d'un côté. tendre. ses paroles, son regard. pourtant on peut entendre crier cette tristesse, cette douleur. parce que le diable a peur d'être abandonné par la seule personne à qui il se retient encore. même si ce soir, il était avec lui, qu'en était-il des prochains jours ? qu'il devienne lui aussi, un souvenir douloureux. et si il disparaissait. comme cet ami d'enfance perdu. tragique symphonie de la bête. alors il veut l'entendre parler, entendre son paradis lui conter les nombreuses aventures qu'il leur reste à accomplir. même si c'est un mensonge, même si il sait que la vie ne tient que sur un fil. parce qu'aleksei est à ce point important pour lui. l'imaginer se volatiliser, lui sert la gorge, lui brise le coeur, l'empêche de respirer. sous un poids invisible et intouchable.
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